Elle adore humilier les bourgeoises

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il y a 6 ans

Elle adore humilier les bourgeoises

Bonjour. Je m’appelle Fabienne. J’ai 42 ans. Grande, brune, je suis plutôt pas mal il parait. En tous cas, c’est ce que me disent souvent les hommes. Je suis marié depuis 10 ans. J’ai 2 e n f a n t s. .. Je suis une bonne épouse, bonne mère de famille. Enfin, je l’étais. Ma vie a radicalement changé un jour de soldes !! Laissez-moi vous raconter comme je suis devenue une bonne chienne soumise.

Les soldes avaient donc commencé depuis 2 jours et, comme toutes femmes qui se respecte, je brûlais d’envie de faire les boutiques et de profiter des réductions à -50 % !Il faisait une journée de rêve…Le printemps pointai enfin son nez et une douce chaleur réchauffait les cours, et les sens.Très élégante dans une jupe plissée, qui m’arrivait à mi-mollet, sur des collants clairs, je marchais d’un pas léger dans le centre-ville, les talons hauts de mes escarpins claquaient joyeusement sur le trottoir. J’entrais dans une boutique de prêt à porter que j’avais déjà repéré ; Elle se situai au fond d’une ruelle. Je jetai un oeil sur les robes, jupes et autres pantalons dont les réductions étaient vraiment alléchantes. Il n’y avait personne dans la boutique, à part la gérante. Une jeune fille d’une vingtaine d’années ; Grande, les cheveux court, en minijupe qui lui arrivait à mi-cuisses. Les talons de ses bottes la grandissaient. Elle me proposa son aide et je lui demandais d’essayer une robe. Elle me dirigea vers la cabine d’essayage. Je tirais le rideau et me déshabillait.

J’étais en sous-vêtements, slip et soutien-gorge, n’ayant gardé que mon collant et mes escarpins quand, levant la tête, j’aperçu une camera vidéo pointer vers moi !! Outrée, j’appelais la gérante. Elle écarta le rideau et je me couvris la poitrine en me protégeant de la robe. Je lui demandais des explications sur la présence de cette caméra.

Elle m’expliqua qu’elle avait eu plusieurs vols et que par conséquent elle avait installé cette camera de vidéo surveillance. Ce qui n’était pas très grave, puisque ces clients étaient exclusivement féminines et qu’elle était elle même une femme. Folle de rage, je lui signalais que je trouvais cette attitude scandaleuse et que j’allais porter plainte pour v i o l ation de la vie privée. Le ton monta rapidement. La gérante voulut récupérer sa robe et elle me l’arracha, la déchirant !

  • C’est malin ! Hurla-t-elle. Y va falloir la payer maintenant, je vous préviens.

Scandalisée, je refusais de payer. La gérante me regarda avec un air mauvais et m’agrippant les cheveux, elle me tira hors de la cabine. Me faisant couiner de douleur.

  • Petite salope ! Me cria la gérante, tu vas voir comment je les mate les bourgeoises friquées comme toi.

Je tentais de me dégager, affolée par la tournure que prenaient les événements.

Elle me claqua les fesses v i o l ement et je me retrouvais vite à genoux devant elle. Elle me donna une gifle et des larmes me montèrent aux yeux. Pas du tout attendri, elle me f o r ç a à courber l’échine, me mettant à quatre pattes sur le sol. Elle me cingla de nouveau les fesses !

  • Non.Non. Je vous en supplie, arrêtez, je vais vous rembourser.

Les coups redoublèrent sur mes fesses, je couinais, ondulant du cul pour tenter de me dégager.

Elle me releva et elle abaissa les balconnets de mon soutien-gorge. Méchamment, elle me pinça les pointes de mes seins. Je hurlais sous la douleur. Elle s’accroupit me caressant les seins.

  • Tu vas aimer, salope, t’es pas la première tu sais, j’ai mon petit harem. J’adore humilier les bourgeoises dans ton genre.

Elle me poussa en arrière, me f o r ç a nt à m’allonger; Elle se jeta sur moi, me léchant les tétons avec fougue. Me les mordillant…Je gémis. Se mettant à califourchon sur mon ventre, elle me malaxa les seins sans douceur en ricanant, une lueur lubrique dans le regard. J’essaie de la désarçonner, mais elle est plus forte que moi ! Je la supplie d’arrêter. Elle se pencha et ses lèvres se posèrent sur les miennes. Ecourée, je résiste. Sa langue f o r c e le barrage de mes lèvres, elle s’enroule autour de la mienne. Je ressens soudain une douce chaleur dans mon bas-ventre…Mon corps mollit .Et je lui rends son baiser. Sa main me caresse toujours ma poitrine. Elle se recula et elle déchira mon collant. Elle tira sur mon slip dégageant ma chatte. Elle passa ses doigts sur ma vulve.

-T’es trempée, petite salope.

C’est vrai, elle a raison, je ne peux le nier. Je suis inondée.Je n’arrive pas a comprendre pourquoi. Je suis en train de me faire v i o l er par une femme qui pourrait être ma fille, et je suis complètement excitée. Je sursautais quand son index s’engouffra dans ma chatte. Puis un deuxième doigt. Elle fit des va et vient dans mon bas-ventre. Je donnais un coup de reins involontaire. Elle me titilla le clitoris. Elle le malaxa. Je ne résiste plus, je gémis de plus en plus, honteuse d’être traiter de la sorte. Elle me tapa sur les cuises et docilement, j’ouvris les jambes. Cela dura de longues minutes, je sentais l’orgasme arriver et je secouai la tête dans tous les sens, arquant mon corps, me mordant les lèvres. Elle s’arrêta soudain me laissant au bord de l’évanouissement !

  • Tu jouiras quand je te le dirais petite pute, t’es vraiment une salope !

Je fus mise à quatre pattes et je dus faire le tour de la boutique. Les coups sur mes fesses reprirent. La gérante, dont je ne connais toujours pas le nom, m’ordonna de venir renifler sa chatte. Elle releva sa jupe. Dessous, elle n’avait aucun sous vêtement. Sa chatte était rasée. Elle m’agrippa les cheveux et me f o r ç a à venir lécher sa vulve dégoulinante. Je passais timidement ma langue sur son clitoris. Elle appuya encore plus fort et je m’appliquais. Elle donna des coups de reins me traitant de pétasse.

Elle eu un orgasme et me repoussa v i o l emment, le souffle court.

  • C’est bien, tu sais y faire finalement.

Elle me releva et me f o r ç a à me courber sur un bureau, les seins écrasés contre le bois. Je frémis quand je sentis qu’elle m’enfonçait un objet dans ma chatte. Elle le fit coulisser rapidement. Je poussais un gémissement plaintif. Je ne comprends pas de quoi il s’agit et je tente de tourner la tête.Je reçois un coup sur ms fesses.

  • Ne te retourne pas salope.

Chaque injure m’excite encore plus, je mouille abondamment, je sens la cyprine qui coule le long de mes cuisses. Je suis dans un état indescriptible, il faut que je jouisse ou je vais devenir folle. Ma tourmenteuse agite l’objet dans mon vagin de plus en plus rapidement. J’halète, je gémis, mes ongles griffent le bois du bureau. L’orgasme déferla comme un tsunami, un cri jaillit de mes poumons me laissant pantelante. L’objet fut retiré et la gérante me retourna, me f o r ç a nt à m’agenouiller à ses pieds, un sourire ironique aux lèvres.

  • T’as pris ton pied, hein ma salope ?

Rougissante, je baissai les yeux. Elle me montra le gode avec lequel elle venait de me branler. Elle m’ordonna d’ouvrir la bouche et je dus le sucer comme une bite d’homme. Mes lèvres autour du sex-toy, je salivais dessus.

Je me relevais et me rhabillais, soulagée que cela soit terminé. Du moins, je le pensais..

La gérante, qui me dit s’appeler Kathy, me montra la camera au dessus de la caisse. Je frémis.Oh mon dieu !

  • Si tu ne veux pas que la cassette atterrisse sur le bureau de ton mari ou se retrouve sur Internet, y va falloir revenir me voir. Tu passeras tous les jours. Change de fringues ! Tu t’habille comme une nonne.Dorénavant, jupes courtes, bas et porte-jarretelles. Je te veux comme une pute ! J’ai des copines à te présenter..

Je rentrai chez moi bouleversée parce que j’avais vécue. Je n’en parlais pas à mon mari, à personne d’ailleurs. Je ne portais pas plainte. Je ne sais pas pourquoi. Peut être parce que j’y vais pris du plaisir. Je vais tous les jours dans la boutique de Kathy, Maîtresse Kathy.Elle me fait subir les pires tourments. Elle m’oblige à me masturber avec des godes énormes…Elle me prête a des lesbiennes perverses qui me branle toute la journée. Je suis régulièrement attachée, bâillonnée et godée. Je suis fouettée par Kathy. J’ai même été loué a des vieux messieurs pervers qui m’ont baisé toute une journée. Puis à des jeunes qui m’ont emmenée dans une cave et qui m’ont partouzée. Parfois, il y a d’autres femmes avec moi, des épouses respectables qui sont devenues comme moi des chiennes soumises..

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